A l’heure où la progression de l’épidémie COVID-19 nécessite d’augmenter le niveau de protection de la population en adoptant les mesures de distanciation sociale, d’hygiène des mains, et le port du masque dans de nombreuses circonstances, il est important de rappeler qu’il n’existe pas de risque lié au port du masque en cas d’épilepsie. Les personnes avec épilepsie peuvent se protéger (et protéger les autres) comme tout le monde. En effet, les modifications de la ventilation induites par le port du masque sont mineures et sans conséquences physiologiques.
Il existe une dérogation exceptionnelle, selon l’article N° 2 du décret du 10 juillet paru au JO le 11 juillet 2020, en cas de handicap psychique et mental, notamment l’autisme : « Les personnes en situation de handicap qui ne sont pas en mesure de porter le masque en sont dispensées. Elles doivent être munies d’un justificatif de handicap (certificat médical, attestation MDPH ou notification Caf par exemple). »
Laurent Vercueil, pour le bureau de la LFCE
Il existe une dérogation exceptionnelle, selon l’article N° 2 du décret du 10 juillet paru au JO le 11 juillet 2020, en cas de handicap psychique et mental, notamment l’autisme : « Les personnes en situation de handicap qui ne sont pas en mesure de porter le masque en sont dispensées. Elles doivent être munies d’un justificatif de handicap (certificat médical, attestation MDPH ou notification Caf par exemple). »
Laurent Vercueil, pour le bureau de la LFCE
